Jeudi 3 mai 2007 à 0:34

Juste un petit article vite fait pour rendre hommage à un excellent auteur contemporain (c'est pas souvent que j'en fais des éloges alors on en profite) Terry Pratchett, doté d'un humour très particulier, très anglais, dirons nous…^^

 

 

 

Il est le très prolifique auteur d'ouvrages fantastiques dont la majorité tient place dans un monde loufoque de sa composition : le Disque Monde, célèbre entre tous, un monde plat porté par des éléphants, eux même posés sur le dos d'une tortue de mer nageant dans l'infini de l'univers… Ce monde est totalement décalé et irrésistible et offre des personnages très hauts en couleurs évoluant dans des aventures improbables et rocambolesques. Parmi eux, Rincevent, le bibliothécaire de l'université de magie (qui a été transformé en ourang-outan suite à une manipulation magique qui a mal tourné et a refusé de reprendre sa forme gumaine), Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg, et, bien évidemment, de tous les épisodes, la Mort, qui, attention, est un mâle (un mâle nécessaire lit-on d'ailleurs en 4e de couverture). Il a toujours les meilleures répliques (et souvent les dernières)

 

 

 

Des mages stupides, des assassins malhabiles, des prêtres fanatiques, des sorcières adeptes de tétologie plus que d'occultisme, qui se mêlent dans cet univers dingue parodiant parfois des classiques tels que MacBeth, le Fantôme de l'Opéra, Faust… quand l'auteur ne revisite pas l'Inquisition avec bonheur…

 

 

 

Par contre, tout le monde n'apprécie pas son humour, et même parfois pour moi qui suis une adepte, ça a du mal à passer. Si certains livres sont de mon point de vue excellent, d'autres sont plutôt médiocres. De mes amis que j'ai tenté de convertir (prêcheuse dans l'âme) aucun pour l'instant n'a accroché. Me concernant, ceux que je préfère sont dans le désordre Mortimer, le Faucheur, les Petits Dieux, Trois soeurcières, Le Père Porcher (yaaaah mr Leredouté <3)

 

 

 

Voilà un moment que je n'ai pas mis ma bibliothèque à jour… il y en un nommé carpe jugulum dont j'attend fébrilement la sortie en poche… si je compte bien il doit y en avoir près d'une vingtaine, mais d'inégale valeur (je recommande aussi, toujours dans le désordre dans lequel je retrouve ma collection, Masquarade, Eric, Mécomptes de Fées, Nobliaux et Sorcières et les deux tout premiers, la huitième couleur et le huitième sortilège (mais pas la huitième fille)

la Mort aime les petits chats. c'est un être sensible qui déteste la cruauté envers les animaux

 

extrait en vrac:

Discussion entre la Mort et son serviteur Albert

 

 

 

«    -    ALBERT ?

 

 

 

-         Oui, maître ?

 

 

-         TU N AS DONC RIEN A FAIRE ? UN PETIT BOULOT ?

 

 

-         J'crois pas.

 

 

-         AILLEURS QU ICI, JE VEUX DIRE.

 

 

-         Ah. Vous voulez rester seul, c'est ça.

 

 

-         JE SUIS TOUJOURS SEUL. MAIS EN CE MOMENT, JE VEUX ETRE SEUL TOUT SEUL »

 

 

Le Faucheur

 

 

 

Je raconte cela car je viens de finir de relire De Bons Présages, que Terry pratchett a écrit avec son ami Neil Gaiman, et que j'adore tout particulièrement. Une histoire où un ange et un démon (Aziraphale, bibliophile, et Rampa, amoureux de sa Bentley) partent à la recherche de l'Antéchrist momentanément égaré, sur fond de proche Apocalypse déjantée, où les 4 Cavaliers, personnages récurrents de Pratchett, se mêlent allègrement à de jeunes enfants terribles, à la descendante d'une sorcière Barge (c'est son nom) et des relents d'une armée des Inquisiteurs… Si le style de Pratchett est très reconnaissable, cela me donne bien envie d'aller voir du côté de Neil Gaiman, dont l'univers à l'air également très plaisant…bref, tout cela est très jouissif, et j'avais entendu dire que  Terry Gilliam allait l'adapter en film… malheureusement il semble que le projet soit tombé à l'eau, mais j'ai appris par la même occasion que des dessins animés sur l'univers du Disque Monde avaient été réalisés, et avec un casting de choc pour le doublage…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Devinez quoi, Death est doublé par… Christopher Lee

 

 

 

Si ce n'est pas du bonheur !

 

 

 

* cherche désespérément lesdites vidéos *

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Aziraphale donna à Rampa une tape dans le dos.

 

 

« apparemment, nous avons survécu, dit-il. Imagine l'horrible résultat si nous avions fait preuve de la moindre compétence »

 

ineffable!

 

 

 

 

 

 

 

 

Lundi 23 avril 2007 à 10:04

 

 

En cette belle période d'élection, il me semblait approprié de montrer ce qui a cimenté notre république !
 la Terreur a été une bien sombre période de notre histoire, où l'on envoyait chaque jour à la guillotine des trentaines de personnes, pendant de bien longs mois… le nombre de victimes est de près de 2 000 pour la seule ville de Paris. Le seul fait d'être accusé signifiait être condamné, car la sentence dépendait du bon vouloir d'un jury très peu regardant. Bien entendu, chaque régime a eut ses carnages, ses massacres, ses atrocités et ses flots de sang. Si vous voulez mieux connaître cette période, et d'un point de vue plutôt inattendu, je vous enjoins de lire le journal de Charles Henri Sanson, exécuteur des hautes et basses œuvres de la ville de Paris durant cette triste période.
Son témoignage est empreint d'une humanité que ne laisse pas supposer son office, et il prend véritablement aux tripes. Si au début il décrit le déroulement de l'exécution dans le détail, (s'en est parfois insoutenable) comme celle de Louis XVI, son épouse ou encore les Girondins, le décompte mortel n'en finissant plus de s'allonger, à la fin il ne fait que recopier inlassablement le nom des exécutés du jour, un alignement dont la longueur évoque presque plus d'effroi que la description de l'inhumanité de certains jury. Charles Henri était très compatissant envers ses victimes, et il tentait parfois d'en faire évader quelques uns sur le chemin jusqu'à la guillotine (appelée parfois alors « le rasoir de Charlot ») il n'a réussi qu'une fois, au tout début du carnage. Les condamnés étaient souvent étonnés de son comportement.
 
Son journal aurait pu le faire passer sous la lame de son propre instrument, lorsqu'il plaint le roi ou décrit le courage de certains condamnés. Pour lui, peu importait ce qu'avaient fait ces personnes pour être condamnés, ou leurs opinions politiques : lui ne voyait que des personnes qui allaient mourir. Je crois qu'il a démissionné avant la fin de la Terreur, malade, sujet à de sanglantes visions. Il était horrifié par le comportement de nombreux condamnés, dont quelques uns par exemple avaient répété leur exécution dans leurs cellules, demandant même des conseils à Charles Henri qui passait. En montant sur l'échafaud ils étaient tout guillerets. La vie avait perdu toute valeur, et beaucoup ne craignaient plus de la perdre. Son journal est connu par son petit fils, Henri Clément Sanson, lui aussi exécuteur de la ville de Paris, puisque cet office était héréditaire, durant la période romantique. Il a rassemblé les traces de ses prédécesseurs pour écrire l'histoire de sa famille, sur 7 générations, d'où le titre de son ouvrage « sept générations d'exécuteurs » si je n'ai lu que le journal de Charles Henri, il me faut impérativement me procurer l'ouvrage complet !
 
Dans ledit journal, Charles Henri avait noté le poème d'un condamné, qu'il avait commencé à composer avant même que l'on prononce la sentence, certain de son dénouement. Il s'agit de Nicolas Roland de Montjourdain, ex noble, commandant du bataillon de St Lazare, âgé de 37 ans, né à la Rochelle, département de la Charente Inférieure, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort le 19 pluviôse an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice des conspirations des 20 juin et 10 août 1792, tendances à Troubler l'état par une guerre civile en France, en armant les citoyens les uns contre les autres, et contre l'exercice de l'autorité légitime. Ce qu'il a composé est connu sous le nom de Romance de Montjourdain, sur l'air de Vaudeville de la soirée orageuse. Elle a été chantée dans tout Paris à l'époque.
 
L'heure avance où je vais mourir,
L'heure sonne, et la mort m'appelle :
Je n'ai point de lâche désir,
Je ne fuirai point devant elle.
Je meurs plein de foi, plein d'honneur ;
 
Mais je laisse ma douce amie
Dans le veuvage et la douleur…
Ah ! je dois regretter la vie !
 
Demain mes yeux inanimés
Ne s'ouvriront plus sur ses charmes ;
Tes beaux yeux à l'amour formés,
Demain seront noyés de larmes.
La mort glacera cette main,
Qui m'unit à ma douce amie ;
Je ne vivrai plus sur son sein…
Ah ! je dois regretter la vie !
 
Si dix ans j'ai fait ton bonheur,
Garde de briser mon ouvrage ;
Donne un moment à la douleur,
Consacre au plaisir ton bel âge.
Qu'un heureux époux à son tour,
Vienne rendre à ma douce amie
Des jours de paix, des nuits d'amour ;
Je ne regrette plus la vie
 
Je revolerai près de toi
Des lieux où la vertu sommeille ;
Je ferai marcher devant moi
Un songe heureux qui te réveille.
Ah ! puisse encore la volupté
Ramener à ma douce amie
L'amour au sein de la beauté ;
Je ne regrette plus la vie.
 
Si le coups qui m'attend demain
N'enlève pas ma tendre mère ;
Si l'âge, l'ennui, le chagrin
N'accablent pas mon triste père ;
Ne les fuis pas dans la douleur,
Reste à leur sort toujours unie ;
Qu'ils me retrouvent dans ton cœur,
Ils aimeront encore la vie.
 
Je vais vous quitter pour jamais ;
Adieu plaisirs, joyeuse vie,
Propos libertins et vins frais.
Qu'avec quelque peine j'oublie !
Mais j'ai mon passeport : demain
Je prend la voiture publique,
Je vais porter mon front serein
Sous la faux de la République.
 
Mes tristes et chers compagnons,
Ne pleurez point mon infortune,
C'est dans le siècle où nous vivons
Une misère trop commune.
Dans vos gaîtés, dans vos ébats,
Criant, buvant, faisant tempête,
Mes amis, ne m'avez-vous pas
Fait quelquefois perdre la tête
 
Quant au milieu de tout Paris,
Par un ordre de la patrie,
On me roule à travers les ris
D'une multitude étourdie,
Qui croit que, de sa liberté,
Ma mort assure la conquête ;
Qu'est ce autre chose, en vérité,
Qu'une foule qui perd la tête.

http://lostsoulslair.cowblog.fr/images/2/3263040.jpg
 
Edit 09/06/09 : voilà belle lurette que je possède « Sept Générations d’exécuteurs », qui est un très beau témoignage, enfin, beau, poignant surtout, vu ce qu’on y décrit…
Toujours très intéressée par la période, il est vraiment étonnant de constater que la vie avait perdu toute valeur, et que les jeunes gens avaient des attitudes franchement badines, pour ne pas dire glauques, l’horreur quotidienne déclenchant une fureur de vivre. Et une frivolité certaine. Peut-être ferais-je un jour un article plus complet dessus, mais en 1794 surtout, apparut une mode vestimentaire et capillaire assez particulière. Les femmes portaient des rubans rouges ou noirs autour du cou, rappelant la décollation, et leurs robes arboraient dans le dos et sur les manches des « croisures », rubans croisés, comme pour « marquer la cible ».
 ah, et je ne parle pas de la coupe des vestes masculines qui cachaient la tête, ce qui fait que, de dos, on pensait que la personne en était dépourvue…
 
Capillairement, la mode était à la coupe « toilette du condamné » : avant leur exécution, les condamnés se faisaient couper les cheveux dans « l’antichambre de la mort » si je me souviens bien, par l’exécuteur et ses aides. C’était indispensable, pour que la lame de la guillotine ne dérape par sur les cheveux, ce qui pourrait occasionner une exécution très malpropre et douloureuse. Charles-Henri, « monsieur de Paris » était une véritable célébrité dans la capitale –bien malgré lui- et je suppose que ces jeunes fanfarons auraient adorés se faire couper les cheveux de sa main même. Les femmes comme les hommes s’y collaient. C’était la coupe « à la victime » Les hommes (Muscadins et Incroyables comme on les nommait à l’époque) parfois se coupaient juste les cheveux dans la nuque, les laissant long sur les côtés du visage, évoquant ainsi… un cocker. C’était cela l’élégance à l’époque…
Ah, et aussi, un club très fermé vit le jour : le bal des Victimes : pour y avoir accès, il fallait pouvoir prouver que l’on avait dans sa famille au moins une personne exécutée ! Apparemment c’était un club très demandé…
 
Etrange et terrible époque…

 

 

 

 

 

Mercredi 24 janvier 2007 à 0:56

Voilà juste pour dire que le concert de

Therion

était absolument magnifique

quelle soirée mémorable...

bon je taperais un speach plus long après être allée dormir, en espérant que mes rêves me refassent revivre de ces instants magique...

hélas, trop court, et déjà dans le passé...

Mardi 9 janvier 2007 à 23:26

La neige, ça a l'air très pur, ce blanc immaculé à perte de vue. Pourtant la neige est si impure, composée d'éléments qui peuvent être si sales… et puis elle recouvre tout comme un linceul, elle oppresse le sein de la terre comme le tombeau le sein de l'imparfaite courtisane de Baudelaire.  La neige est froide comme la mort, elle en a le silence, le calme, le gel. La neige est un peu comme un cimetière. Et la neige est si belle. Le son même qu'elle émet lorsqu'elle craque doucement sous les pas des errants procure un sentiment de félicité.

Mais la neige n'est jamais plus belle que lorsque des fleurs pourpres viennent y éclore et qu'elles s'épanouissent, qu'elles allongent leurs pétales délicats sur leurs tiges écarlates. C'est un peu la vie qui jaillit sur la mort, et pourtant cette vie qui s'échappe est elle même comme un symptôme maladif et mortifère.

Et ces fleurs fragiles attendent qu'une âme contemplative s'en vienne pour rêver sur elles, s'abîme dans un songe où elles dansent, virevoltante, dans ce monde de trépas.

Oublie ton corps, oublie celui qui tient ton âme prisonnière de ses désir et lui enlève ses ailes. L'âme ne souhaite que voler dans l'air pur, dans les cieux lointains recelant toutes les merveilles que la terre a perdu. De ces cieux sont venus des pleurs qui se sont cristallisés, et la terre épuisée libère son sang le plus beau à travers ces fleurs, union des rêves perdus.

A celui qui contemple, l'âme est ravie. Puisse t'elle ne jamais retourner dans sa prison de chair et d'os.

Hélas, cette beauté mortelle finit tôt ou tard par s'évanouir, sous les feux du cruel soleil tueur des doux rêves des désabusés. Petite âme pourpre s'envole en se sublimant dans les cieux de cristal où elle rejoindra les soupirs exhalés par ceux dont les espoirs et les attentes sont déçus. Mais que restera t'il de cette éphémère beauté qui aura permis à Perceval de se recueillir ? une cicatrice. Sur l'âme.

Le vrai Graal est la coupe de l'âme emplie de notre sang, notre essence. Pour la trouver en ce monde amer le chemin est bien difficile et douloureux. Si seulement cette plaie voulait bien rester sur cette étendue ivoirine… pourquoi faut-il que ces fleurs s'évaporent ? je ne veux pas d'un bouquet de pâles petits fantômes, il me faut les voir rutilantes, ces chers rubis, ces perles cramoisies… restez ici, que je m'abreuve de vous, que mon regard vous frôle tendrement, que mes pensées vagabondent auprès de vous… que je trouve mon Graal.

Adieu velours incarnat… les voilà qui se fanent… il faudra recommencer quand le cœur sera las et révolté.

Perceval…

Vendredi 5 janvier 2007 à 1:35

je ne sais pas ce qui m'arrive en ce moment je me met à rire bêtement pour n'importe quoi et je suis encore plus ravagée que d'habitude. je pense que c'est du au fait que j'ai beaucoup de révisions à faire et pas l'envie qui va avec, et que je suis un peu fatiguée et perturbée aussi... disons que le réveillon que j'ai passé avait de quoi perturber, mais de bien agréable façon... je suis fière d'annoncer qu'à ce jour du 5 janvier j'ai commis les 7 péchés capitaux plusieurs fois... (quoique pour un ce soit discutable) merci infiniment à Virginie et à Tinou pour ce merveilleux nouvel an... ils se sont surpassés pour nous! ça nous a fait super plaisir merci merci merciiiii!!!!

bon ce n'était pas pour raconter mes exploits mais pour faire enfin la critique du film Eragon, comme je me l'étais promis depuis un moment. juste du film je n'ai pas lu le livre mais je le ferai dès que possible, c'ets à dire dès que mon photographe de X favori me prêtera le livre (il s'agit bien sûr de l'innénarable Fred... enfin si on peut le narrer, mais ça va prendre du temps, surtout si c'ets lui qui s'y met... je t'adore ma débauchée)

et bien donc le film m'a déçu... de ce que j'ai entendu c'est une pâle copie de l'oeuvre et le scnario reprend toutes les conventions énumérées l'article d'avant...

le jeune héros n'a aucune classe, il est antipathique, se prend pour le roi du monde, est impertinent, sans jugeotte, niais, sans aucune sagacité ni morale, il n'en fait qu'à sa tête, insolent, borné... bref... en fait il représente bien l'ado classique! lol mais je ne l'aime pas du tout... (on l'aura compris) et puis genre en 2h de film il est devenu un pro à l'épée... ahem... ah et puis il faut aller sauver la gentille demoiselle (ça va je la pensais pire que ça dans le genre) aussi... 17 ans les hormones qui travaillent... ça aurait été moi il ne serait pas venu... de toute façon je n'aurais pas voulu partir...^^

je trouve dommage que le dragon fasse un peu office de gentil toutou domestique... pas très caractérielle la Saphira (original le nom... j'ai rien dit ^^ non je suis pas jalouse de ce type qui a mon âge écrit des romans qui se vdndent dans le monde entier et que c'ets adapter en film non non) et puis elle a un peu fumé aussi pour avoir choisi un dragonnier pareil sincèrement... remarque elle doit être du côté des Méchant du coups si on réfléchit dans se sens...

en parlant de méchant... très mauvais point... je trouve Galbatorix détestable... un rasé avec un complexe de supériorité mal placé... pas très classe, une grosse loque qui s'en prend à son second parce qu'il ne peut taper sur personne d'autre... pfff... deception...

par contre il y a quand même des personnes classes... Brom, quoique du côté des Gentils (merveilleux cette façon de voir le monde ^^) est très charismatique... en plus c'est Jeremy Irons... bref comme toujours ce sont toujours les meilleurs qui s'en vont...

sinon on se divertit bien c'est agréable à regarder...

mais le film ne vaut en fait à mes yeux que pour une seule personne... DURZA...

le bastard de service en second... il a méchament la classe celui... très grand charisme... il sauve tout! sadique, possedé, puissant, sorcier en magie très obscure, (hmm j'ai des images dans la tête... une sorte de Wild Hunt... me rappelle plus du mot français...ah c'est la Chasse Infernale tout bêtement, Chasse Nocturne... bref, c'est...magnifique...et pas du tout dans le livre il parait... dommage...) bref petite photo résumant pourquoi j'aime Durza (ne pas avoir peur du ridicule) et c'est valable pour les autres Bloody Bastard de service:

avec ça je me rend compte sagement que si je collais une photo de tous les Bad Guys du cinéma qui me plaisent, je pourrais refaire le papier peint... ;-)

Sincerement il en jette. wow j'ai vraiment des arguments magnifiques!!! il faut le voir. quand on le voit en action, riant comme un sadique, là, sa présence comme ça, là on comprend... bref, je suis folle mais tout le monde était au courant. donc tout va bien!

ah oui autre chose: Durza a un petit air de Black metalleux... je lui trouve personnellement un petit air de Dani Filth (je suis la seule mais bon) je tiens à préciser que la voix de Dani m' attire bien plus que son physique (surtout maintenant que son groupe est devenu de la *bip*)... bref.

très migon là dessus Dani quand même je dois admettre... lol

je ne parlerais pas de la fin je risque de m'énerver... reportez vous à l'article précédent...

bon et puis pour finir de prouver comme mon esprit est dérangé voilà ce qui se passe quand une étudiante ne veut plus bosser et qu'elel a des photos sous la main... (à défaut d'autre chose hélas)

sans commentaire... non vraiment

sur ce, bonne nuit les petits, et pitié, ne m'en veuillez pas pour ma stupidité ou mon attrait pour ce que l'on nomme des choses "déviantes"... après tout je suis fière de ce que j'aime!

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